« Aussi longtemps que les miséreux ne sont pas retirés de la misère, les problèmes de la cité ne se posent pas ; retirer de la misère les miséreux, sans aucune exception, constitue le devoir social avant l'accomplissement duquel on ne peut pas même examiner quel est le premier devoir social […] Nous devons le résoudre et nous n'avons pas à discuter si nous devons le résoudre […] Une cité assurée de tous les côtés moins un n'est pas une cité ; un véritable malheur individuel, une véritable misère individuelle empoisonne toute une cité ; une cité n'est pas fondée tant qu'elle admet une misère individuelle, quand même l'individu intéressé y consentirait. »
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